Bonne nouvelle pour l’aéroport de Tours : le contrôle aérien est pérennisé

Les services du 1er ministre l’ont confirmé mardi.

Aujourd’hui, l’aéroport de Tours accueille 200 000 passagers par an, entre des vols d’affaire, des vols civils (notamment Ryanair) ou encore des vols sanitaires (des transports d’organes, en lien avec le CHU). Pour faire fonctionner tout ce système, il faut des contrôleurs aériens.

Aujourd’hui, l’armée assure une bonne partie de cette activité mais comme elle va transférer son école de chasse à Cognac en 2021, elle stoppera du même coup ses contrôles. Depuis cette annonce, il y avait une incertitude sur le maintien d’équipes qualifiées pour surveiller le ciel tourangeau, condition pourtant indispensable afin d’assurer un trafic conséquent, surtout que Tours Métropole espère atteindre 500 000 passagers dans une quinzaine d’année.

Ce mercredi on apprend que le problème est réglé. Le député LREM de Tours Philippe Chalumeau annonce que les services du 1er ministre Edouard Philippe valident le principe du maintien d’un contrôle aérien pour Tours, confirmant la position otpimiste de la péfète d’Indre-et-Loire lors d’une interview pour 37 degrés et Info Tours à la fin de l’année 2018.

« Cela donne un véritable avenir à l’aéroport de Tours » estime Philippe Chalumeau en réaction à cette information. Le dispositif est double : d’abord le maintien d’un conrtrôle aérien physique pendant une période « transitoire » avec des créations de postes, puis la création de ce qu’on appelle une remote tower soit un contrôle digitalisé à distance, « une première en France métropolitaine » selon l’élu.

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