Rencontre littéraire autour de Sarah Vajda

Le 30 septembre au café St Germain.

La jeune maison d’édition Nouvelle Marge, fondée par Maximilien Friche (passé par Tours, aujourd’hui à Lyon) organisé un café littéraire le 30 septembre prochain à 19h au St Germain, à Tours (Avenue de Grammont). Au programme : lecture à trois voies de son livre Jaroslav et Djamila, premier ouvrage édité par la jeune entreprise (dont deux des quatre associers résident en Indre-et-Loire). Sa visée : « seule une narration peut modifier un être en profondeur. »

Romancière et biographe française, docteur en littérature à l’EHESS, fille de l’éminent professeur Georges Vajda, Sarah Vajda a commencé par réaliser durant une quinzaine d’années de nombreuses mises en scène de théâtre sur des textes classiques et contemporains. Elle est aujourd’hui l’auteur de plusieurs biographies à succès et de romans.

Son nouveau roman est donc titré Jaroslav et Djamila. C’est « une lecture exigeante, traitant d’un thème intemporel : l’amour-foudre, terrassant deux êtres qui ne pourront vivre que dans le regret infini d’une relation impossible » nous explique l’éditeur.

Plus de précisions dans ce texte fourni par Nouvelle Marge : « Peut-on tomber amoureuse à l’âge de l’impossible ? Il suffit de croiser un doux colosse slave au corps ouvragé par la vie des chantiers, de passage dans son exil de l’Ukraine jusqu’au-delà de l’Océan. Jaroslav, trois syllabes comme une valse. L’homme et la femme vont thésauriser quelques instants où le trivial se mêle au sublime, ils vont se replier sur l’esquisse de leur bonheur, comme des adolescents cultivent l’impossible, impossibilité hautement arrangée par la glaciation des jours. Les affres de la passion guettent et les conventions d’aujourd’hui sont en embuscade.

Nico, vieil ado révolutionnaire au cœur d’artichaut est là pour nous, pour nous rapprocher de ces amants et nous faire entrer en littérature. Ce spécialiste en psycho, socio, ethno… cette âme affamée de justice, a choisi Djamila comme « sujet d’étude » pour comprendre, illustrer, analyser… l’acculturation. Mais le malheur n’exige aucune description, seulement la compassion. Toutes les petites filles se proclament uniques et se réveillent… mariées.

Dans une langue à la fois minérale et charnelle, baroque et retenue, trempée d’histoire et de littérature, Sarah Vajda compose une chanson pop, un tube qui met en musique un conte tragique, celui de l’amour absolu. »

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